DEFI
Tu veux que nous écrivions un texte érotique pour parler de cette image ?
C'est parce que tu ne sais pas quand ni comment ceci s'est produit que tu parles d'érotisme.
Ceci s'est produit il y a un an environs, non, un peu plus car c'était en été, l'été 2008.
Par grande chaleur, chacun tend à retirer une couche de vêtements, puis deux... puis par tout retirer.
L'inconvénient à la méthode c'est que quand une personne du sexe dit faible retire tous les vêtements, alors pour elle la température devient plus supportable, mais pour l'autre moitié de la population, la température tend au contraire à monter.
Ainsi, c'est accidentellement qu'un grimpeur bien connu, mais dont je tairai le nom a, par erreur, lové sa corde ainsi : la température était devenue tellement insupportable qu'il avait perdu tout contrôle.
Bien entendu, quand il a découvert son erreur, il s'en est excusé et à proposé de réparer celle ci, mais la demoiselle a refusé, prétextant qu'elle n'avais jamais testé ce genre de vêtements et que finalement, elle aimait bien les liens.
Son seul regret était qu'elle eut préféré tester ceci avec son pantalon de cuir moulant, mais comme je l'expliquais précédemment, ceci n'était pas envisageable du fait de la température qui la conduisait à se contenter d'un string de bain très joli, acheté la veille chez Prisunic.
Voulant tout de même faire quelque chose pour s'excuser, le grimpeur, qui commençait à retrouver le contrôle de ses sens, a tout de même désiré... plusieurs choses mais attachons nous à l'essentiel, il a aussi désiré faire quelque chose pour se faire pardonner et alors proposé un jeu.
Puisque la demoiselle désirait rester attachée et que c'est à cause de lui qu'elle se trouvait dans cette situation, il l'autorisait à le flageller avec le restant de corde qui pendait (le grimpeur était lui aussi très dévêtu et seule la corde pendait).
La demoiselle, grimpeuse elle aussi (j'avais omis de le préciser), accepta mais à la condition que lui aussi ait le droit de la flageller.
Cet accord passé, je me refuse à décrire ce qui suivit car ce ne serait pas convenable, je me contenterai de préciser que plusieurs passants ont, pendant les ébats, crié au scandale et il avaient bien raison.
Mais ce n'est que quand le petit ami du grimpeur (je ne vous avais peut être pas décrit ce détail de sa personnalité) est arrivé et les a trouvés enlacés et empêtrés dans la corde que les choses se sont vraiment gâtées.
Bien entendu, il est inutile de préciser que... hé bien non, puisque c'est inutile je ne le précise pas.
La scène n'avait bien entendu rien d'érotique, mais une âme innocente (enfin, pour les besoins de l'histoire nous supposerons que c'est une âme innocente) pouvait percevoir la chose autrement.
Voulant les séparer, il s'est lui aussi pris les pieds dans la corde et quand la copine de la grimpeuse (je ne vous avais pas non plus préciser de détail de sa personnalité) est arrivée.
Les hurlements de fureur qui s'ensuivirent, inutile d'en parler, d'autant que saisissant ce qui restait de corde, la copine (grimpeuse elle aussi) se mit à frapper les trois autres protagonistes.
Seule la police, alertée par les hurlements réussit enfin à les séparer et tous les quatre ont alors passé la nuit au poste, en garde à vue, dans la même cellule... Je laisse chacun imaginer ce qui à pu se passer dans la cellule.
Depuis, la grimpeuse (la première, pas sa copine), utilise souvent une corde pour se vêtir de cette façon, elle a même amélioré la technique en laissant apparaître certaines parties de sont corps (afin de ne pas avoir trop chaud bien entendu).
Un photographe de Nice a un jour trouvé cette tenue particulièrement sympathique et a décidé de réaliser la photo que vous voyez.
Comme vous pouvez le constater, l'histoire de cette photo n'a donc rien d'érotique et nul besoin de huit-cent mots pour la raconter, six-cent-soixante-quatre suffisent largement.
Tu veux que nous écrivions un texte érotique pour parler de cette image ?
C'est parce que tu ne sais pas quand ni comment ceci s'est produit que tu parles d'érotisme.
Ceci s'est produit il y a un an environs, non, un peu plus car c'était en été, l'été 2008.
Par grande chaleur, chacun tend à retirer une couche de vêtements, puis deux... puis par tout retirer.
L'inconvénient à la méthode c'est que quand une personne du sexe dit faible retire tous les vêtements, alors pour elle la température devient plus supportable, mais pour l'autre moitié de la population, la température tend au contraire à monter.
Ainsi, c'est accidentellement qu'un grimpeur bien connu, mais dont je tairai le nom a, par erreur, lové sa corde ainsi : la température était devenue tellement insupportable qu'il avait perdu tout contrôle.
Bien entendu, quand il a découvert son erreur, il s'en est excusé et à proposé de réparer celle ci, mais la demoiselle a refusé, prétextant qu'elle n'avais jamais testé ce genre de vêtements et que finalement, elle aimait bien les liens.
Son seul regret était qu'elle eut préféré tester ceci avec son pantalon de cuir moulant, mais comme je l'expliquais précédemment, ceci n'était pas envisageable du fait de la température qui la conduisait à se contenter d'un string de bain très joli, acheté la veille chez Prisunic.
Voulant tout de même faire quelque chose pour s'excuser, le grimpeur, qui commençait à retrouver le contrôle de ses sens, a tout de même désiré... plusieurs choses mais attachons nous à l'essentiel, il a aussi désiré faire quelque chose pour se faire pardonner et alors proposé un jeu.
Puisque la demoiselle désirait rester attachée et que c'est à cause de lui qu'elle se trouvait dans cette situation, il l'autorisait à le flageller avec le restant de corde qui pendait (le grimpeur était lui aussi très dévêtu et seule la corde pendait).
La demoiselle, grimpeuse elle aussi (j'avais omis de le préciser), accepta mais à la condition que lui aussi ait le droit de la flageller.
Cet accord passé, je me refuse à décrire ce qui suivit car ce ne serait pas convenable, je me contenterai de préciser que plusieurs passants ont, pendant les ébats, crié au scandale et il avaient bien raison.
Mais ce n'est que quand le petit ami du grimpeur (je ne vous avais peut être pas décrit ce détail de sa personnalité) est arrivé et les a trouvés enlacés et empêtrés dans la corde que les choses se sont vraiment gâtées.
Bien entendu, il est inutile de préciser que... hé bien non, puisque c'est inutile je ne le précise pas.
La scène n'avait bien entendu rien d'érotique, mais une âme innocente (enfin, pour les besoins de l'histoire nous supposerons que c'est une âme innocente) pouvait percevoir la chose autrement.
Voulant les séparer, il s'est lui aussi pris les pieds dans la corde et quand la copine de la grimpeuse (je ne vous avais pas non plus préciser de détail de sa personnalité) est arrivée.
Les hurlements de fureur qui s'ensuivirent, inutile d'en parler, d'autant que saisissant ce qui restait de corde, la copine (grimpeuse elle aussi) se mit à frapper les trois autres protagonistes.
Seule la police, alertée par les hurlements réussit enfin à les séparer et tous les quatre ont alors passé la nuit au poste, en garde à vue, dans la même cellule... Je laisse chacun imaginer ce qui à pu se passer dans la cellule.
Depuis, la grimpeuse (la première, pas sa copine), utilise souvent une corde pour se vêtir de cette façon, elle a même amélioré la technique en laissant apparaître certaines parties de sont corps (afin de ne pas avoir trop chaud bien entendu).
Un photographe de Nice a un jour trouvé cette tenue particulièrement sympathique et a décidé de réaliser la photo que vous voyez.
Comme vous pouvez le constater, l'histoire de cette photo n'a donc rien d'érotique et nul besoin de huit-cent mots pour la raconter, six-cent-soixante-quatre suffisent largement.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire